Les 7 grandes souffrances

de Christ lors de la crucifixion

  

Esaïe 53 : 7 Découvrez en détails mes 7 grandes souffrances dont la bible parle que Christ a enduré, cependant ce n’était ni les clous, ni les cordes, ni Comment faire face à une injustice ?la peur des romains et des juifs qui ont gardé Christ suspendu à cette croix, mais c’était son amour pour l’humanité. 

 

1. LA VIOLENCE DES COUPS

Christ a reçu des coups à la tête tandis que ses yeux étaient bandés cela a produit un gonflement et des ecchymoses et de grands dommages dans ses fonctionnalités vitales.

Il a été frappé sur le dos, sur le côté et sur la tête, ses bourreaux se sont déchainés en passant notre seigneur à tabac .

Matthieu: 27. 30 : Et ils crachaient contre lui, prenaient le roseau, et frappaient sur sa tête. Jean: 19.3 : Salut, roi des Juifs ! » et ils lui donnaient des gifles.

  

2. LES COUPS DE VERGES ET LES COUPS DE FOUET

Jésus était attaché à un poteau il a été fouetté très brutalement avec un fouet à la lanière de cuir lourd sur le bout on y attachait du plomb ou des boules de fer.


La force du fouet avec le plomb ou les boules de fer déchiquetaient la peau et les muscles en bandelettes sanglantes. La flagellation a été conçue pour amener la victime à la limite de la mort. Cette flagellation provoquait un choc énorme et une perte de sang immense.

 Jean: 19.1 : Alors Pilate prit Jésus, et le fit battre de verges. - Luc 23 : 16

 

 3. LES MOQUERIES ET LA COURONNE D’ÉPINES

La tunique de Christ qui a été arrachée de lui, alors que celle-ci collait à sa chair ensanglantée et meurtrie, ses blessures étaient ouvertes et très sensibles, Jésus a beaucoup souffert à ce moment-là. Matthieu: 27. 35


Une couronne d'épines de plus de 20 cm a été enfoncée sur sa tête transperçant son cuir chevelu, provoquant une hémorragie sévère et une douleur atroce. Sans parler des moqueries de la part des Romains et des juifs et des nombreux coups sur la tête.

Jésus est passé par une pression physique et psychologique très intense. Matthieu: 27. 29 - Jean 19 : 2

 

4. LA CROIX TROP LOURDE A PORTER

Une croix incroyablement lourde a été posée sur les épaules meurtries de Christ. Ce bois très lourd pesait énormément ses épaules blessées et sanglantes, ajouter à cela l'épuisement la déshydratation qui a forcément produit un effondrement de sa personne.


En réalité le poteau vertical, appelé stipes, était généralement fixé de manière permanente dans la terre à l’emplacement de l’exécution. Le condamné était forcé de porter le patibulum (la partie horizontale) de la prison au lieu d’exécution. Les condamnés le portaient en travers des épaules, les avant-bras attachés au bois par des cordes. Il pesait de 37 à 75 kilos selon les dimensions et le bois utilisé, une charge proprement écrasante pour un condamné qui venait déjà de subir une flagellation.


Les historiens, se basant sur les reliques de la Vraie Croix à un poids estimé de 75 kg. Certaines personnes érudites ont réalisé un modèle géométrique de déformation d'après le linceul de Turin, les bandes orthogonales reconstituées sur le dos des porteurs de ces textiles évoquent le port de la croix entière, comme ce fût le cas de Jésus Christ jusqu’au mont Golgotha.
Jean 19 : 17

Comment faire face à une injustice ?

5. LA DOULOUREUSE CRUXIFICTION

La crucifixion était un supplice très élaboré, les clous de la crucifixion étaient entre 13 et 18 cm, ces clous pouvaient certainement sectionner des nerfs.  Christ était pendu par ses poignets qui étaient élevés au-dessus de sa tête ce qui rendait très difficile sa respiration.
Pour qu'il puisse respirer correctement il devait pousser sur ses pieds pour se lever un peu et respirer c'est ce qui a certainement occasionné des douleurs atroces.

Ses pieds ont été percés transperçant le talon Genèse 3 : 15  Jean 19 : 18

 

 

6. UNE MORT LENTE 

Il est probable que la forme de respiration à la croix n'eut pas été suffisante et qu'elle amenait l'asphyxie. L'assaut des crampes musculaires ou spasmes entravait encore plus la respiration. Pour atteindre une exhalation suffisante, il aurait fallu que le supplicié puisse relever vers le haut son corps en poussant sur ses pieds, en fléchissant les épaules et en les ramenant vers l'avant, parce qu'elles étaient placées dans une position de torsion ouverte.


Cependant, cette manœuvre placerait tout le poids du corps sur les os des pieds et il en serait résulté une douleur insoutenable. Aussi, le fait de soulever le corps, frotterait douloureusement le dos flagellé contre la rugueuse poutre verticale. Des crampes musculaires et des sensations douloureuses dans les bras étendus et levés vers le haut ajouteraient au supplice.


Par suite de cette situation, chaque effort fait pour respirer deviendrait atroce, épuisant et conduirait éventuellement à un fatal manque d'oxygène. Pour conclure, Jésus est mort par asphyxie pour parler du sens médical il y avait aussi toute cette pression et traumatisme à provoquer des insuffisances cardiaques.
Matthieu: 27. 50

 

7. LA LANCE SUR LE CÔTÉ


Quand la lance a pénétré le côté droit de la poitrine ou cage thoracique vers le milieu, elle est vraisemblablement entrée dans la cavité pulmonaire causant ainsi un flux de sang immédiat.


Et lorsque la lance a poursuivi son trajet, elle a dû perforer le péricarde ou enveloppe du cœur en causant un autre écoulement d'eau du liquide provenant du péricarde. Enfin la pointe de la lance a dû pénétrer le cœur lui-même en libérant un surplus de sang accumulé dans les alvéoles du côté droit du cœur. Le cœur de Christ a littéralement été percé pour l’humanité.
Jean 19 : 34  - Jean 19 : 37

 

Christ à pris la place des menteurs, des voleurs, des assassins etc. … afin qu’au travers de la repentance ils reçoivent la vie éternelle et toutes les promesses de Dieu. Toutes ces ténèbres sont retombées sur lui Esaïe 53 : 5

Pour finir lors de la crucifixion Christ a été séparé du père à cause du péché des hommes. Cette souffrance fût la plus grande selon les paroles de Christ. Matthieu: 27. 46 - Ce n’était ni les clous, ni les cordes, ni la peur des romains et des juifs qui ont gardé Christ suspendu à cette croix, mais c’était son amour pour l’humanité.

Christ à tout donné pour l’humanité, toutes les souffrances antérieures à la croix auraient dû l’achever. Mais il a enduré jusqu’au bout pour toi et pour moi, car il fallait qu’il rachète l’humanité à tout prix ! Considérons sa souffrance et son sacrifice, marchons pleinement dans le salut qu’il nous a offert.
 

AMEN

La rédaction RFE